Introduction:

Les bienfaits de la nudité sur la santé étaient déjà connus de nos lointains ancêtres. Il convient de rechercher les racines de ce phénomène à l’origine de l’humanité en tant qu’espèce biologique. Nos ancêtres, considérés comme créatures anthropoïdes portaient leur propre peau et leurs cheveux comme vêtements.

Puis la croyance s’en est mêlée !

Selon la version religieuse, les ancêtres de tous les peuples sont Adam et Eve, qui, comme chacun le sait, étaient dans le jardin d’Éden nus. L’apparition des vêtements sur eux était une conséquence du châtiment de Dieu et le résultat des machinations du diable.

L’humanité sous sa forme moderne existe depuis environ 400 000 ans.

Durant cette période interglaciaire, où l’humanité est née en temps que civilisation, nous n’avions pas besoin de protéger le corps contre le froid. La dégradation des conditions climatiques, dans certaines régions de la planète, a eu lieu, selon les scientifiques, il y a environ 20 000 ans. Puis est venu l’apparition des sous-vêtements, ainsi que les maillots de bain il y a à peine plus de 100 ans.

Dans ces quelques lignes je souhaite parler du mal causé par le port des vêtements sur notre santé.

Propos :
Revenons aux bienfaits de la vie nue & aux problèmes de vêtements non obligatoires.
La personne complètement nue, la peau inhale de l’oxygène par chacun de ses pores, le transportant tout au long des capillaires à chaque cellule, là où cela est nécessaire pour le fonctionnement normal du processus métabolique. Le corps met en fonction le mécanisme de défense immunitaire qui y est incorporé naturellement.
Les vêtements constituent un obstacle à un autre élément important, l’activité du corps humain avec sa transpiration. Les glandes sudoripares sous l’épiderme sont le principal moyen de thermorégulation du corps humain. À température ambiante, une personne produit 400 à 600 ml de sueur par jour. La sueur contient : 98 à 99 % d’eau, des substances azotées, certains acides aminés constituants des protéines, sels de métaux alcalins et hydroxyacides aromatiques. La sueur devrait rapidement être retirée naturellement de la peau, car d’une part, elle ne doit pas gêner la respiration
cutanée ni la régénération cutanée normale, d’autre part, dans les conditions de températures élevées, en cas de stagnation, elle crée un terrain favorable pour de nombreuses inflammations cutanées et maladies. Les tissus au plus proche de la peau, dans les plis, l’entre cuisse, sous les bras empêchent l’évaporation naturelle. Les vêtements collants tels que legging, slip, soutien-gorge favorisent un frottement inutile augmentant la température de l’épiderme. Surtout pour les hommes où le scrotum joue le rôle de radiateur. La nature régule la température du scrotum en l’éloignant du corps si la température augmente, et le rapproche si la température diminue.

Hubert de Sabenat